- Tout commence dans les rizières -
D'une manière générale, il existe un fossé entre deux corps de métier : les agriculteurs cultivent le riz et le brasseur l'achète pour produire du saké. Néanmoins, une question fondamentale se pose aujourd'hui : " Peut-on parler de saké sans connaître le riz? ", et plus précisément : "Peut-on parler du saké sans connaître les rizières?
De fait, il existe très peu de brasseurs qui cultivent leur propre riz et le transforment en saké. En 2010, nous avons commencé à cultiver nos rizières à Kurodasho, dans la préfecture de Hyogo, et à Akaban, dans la préfecture d'Okayama, dans le but de faire tomber les barrières entre l'agriculture et le brassage.
En cultivant le riz, nous apprenons qu'il existe une harmonie spécifique chaque année, entre le millésime et le terroir, qui ne peut être observée que dans les champs. Nous y puisons l'inspiration pour brasser notre saké.
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