Être à la recherche active d’un ou d’une fiancée, tel pourrait être un « statut » de réseau social. Les gô-kon, version moderne des rencontres arrangés sans l’intervention d’un entremetteur, sont devenus si courants qu’aujourd’hui ils constituent un vivier pour des relations furtives ou amicales. Pour renforcer la dimension de l’engagement, des agences matrimoniales se sont multipliées et modernisés avec le déclin des intermédiaires. Il faut renseigner son âge, son métier, son revenu annuel, ses hobbies, et ses souhaits concernant le candidat. L’agence, après recherches, proposent différents profils. Inscription, recherche, organisation de la rencontre, intermédiaires pour d’éventuels échanges, issu heureuse ou malheureuse donnant lieu à la clôture du compte ou à un renouvellement d’adhésion, tout est tarifé. Pour un peu plus de naturel mais avec le souhait d’aboutir à une relation plus durable que ce qui peut ressortir d’un gô-kon, il est possible de faire appel à des organisateurs de rencontres de groupe, les matchi-kon. Divers cadres et différentes options sont proposés. En fonction de l’âge, des loisirs, de l’environnement de la rencontre, du lieu d’habitation, il est possible de trouver un véritable répertoire grâce auquel il est possible de participer à un événement taillé sur mesure. On cherche, on s’inscrit et on se rend au lieu de rencontre. Tout est organisé pour qu’on se montre sous notre meilleur jour. A nous de jouer !